Bio

50 étés à mon compteur déjà. Combien en reste-t-il ? 25 ? 30 ? Plus ou moins ?

Fort de cette réflexion qui m’anime, je décide de savourer l’instant présent et de poursuivre cette quête de l’épurement.

Par épurement, j’entends la capacité de revenir aux fondamentaux de soi-même; progressivement débarassé des automatismes, des fausses pensées, croyances et autres comportement accumulés durant toutes mes années passées. Cela implique un renouvellement de mon vocabulaire : bannir progressivement des mots comme « vite », « juste », « devoir », genre : « je dois juste vite faire ça ».

Je veux continuer de courir vers le but afin de remporter la course la tête haute, même si cela implique de continuellement remettre l’ouvrage sur le métier.
Tomber. Se relever. Tomber. Se relever.

Garder les yeux ouverts, vers le haut, rester perméable à ce qui élève, s’enthousiasmer pour les choses simples, faire preuve de reconnaissance, retrouver un regard d’enfant sur la vie et une capacité d’émerveillement.

Admettre qu’il y a de plus en plus de choses que je ne sais pas. Que cette déconstruction permet la venue de nouvelles branches qui ultimement portent de plus en plus de fruit.